February 22, 2013
February 19, 2013
Pour Hollande, la Grèce est sur la bonne voie
Par Nicolas Barotte
Le président français se rendra mardi à Athènes. Il compte adresser un message de confianceaux investisseurs étrangers, à l'heure où les réformes commencent à porter leurs fruits.
Les efforts n'auraient donc pas été vains. Ceux des Grecs pour redresser leur économie mais aussi ceux revendiqués par François Hollande pour éviter une sortie du pays de la zone euro, l'été dernier. C'est avec ces idées que le chef de l'État doit se rendre mardi à Athènes. Prévu depuis le mois de décembre, le déplacement n'avait pas pu être organisé jusqu'à présent pour des raisons d'agenda .
Face au premier ministre Antonis Samaras, le président de la République entend tenir un discours économiquement optimiste. Un exercice qui tranche avec le ressenti de la population (une nouvelle manifestation est prévue le 20 février) et l'ampleur de la récession qui touche le pays. Le PIB pourrait reculer en 2013 pour la sixième année consécutive.
Face au premier ministre Antonis Samaras, le président de la République entend tenir un discours économiquement optimiste. Un exercice qui tranche avec le ressenti de la population (une nouvelle manifestation est prévue le 20 février) et l'ampleur de la récession qui touche le pays. Le PIB pourrait reculer en 2013 pour la sixième année consécutive.
February 15, 2013
Asteroid 2012 DA14 to pass close by Earth on today
* Nearest approach at 2:24 p.m.
EST/1924 GMT on Friday
* No chance of impact, scientists say
* Encounter will cause asteroid's orbit to change
By Irene Klotz
BOSTON, Feb 14 (Reuters) - A newly discovered asteroid
about half the size of a football field will pass nearer to Earth than any
other known object of its size on Friday, giving scientists a rare opportunity
for close-up observations without launching a probe.
At its closest approach, which will occur at 2:24 p.m.
EST/1924 GMT, the asteroid will pass about 17,200 miles (27,520 km) above the
planet traveling at 8 miles (13 km) per second, bringing it nearer than the
networks of television and weather satellites that ring the planet.
Although Asteroid 2012 DA14 is the largest known
object of its size to pass this close, scientists say there is no chance of an
impact, this week or in the foreseeable future.
Currently, DA14 matches Earth's year-long orbit around
the sun, but after Friday's encounter its flight path will change, said
astronomer Donald Yeomans, with NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena,
California.
"The close approach will perturb its orbit so
that actually instead of having an orbital period of one year, it'll lose a
couple of months," Yeomans said. "The Earth is going to put this one
in an orbit that is considerably safer," he said.
Meteorite Fragments Are Said to Rain Down on Siberia
MOSCOW – Bright objects, tentatively identified as fragments of a meteorite, streaked through the sky in western Siberia early on Friday, accompanied by a boom that damaged buildings across a vast swath of territory. Around 500 people were reported to have been injured, most from breaking glass.
Emergency officials had reported no deaths by Friday afternoon but said that 14 people had been hospitalized.
Yelena Smirnykh, a spokeswoman for the Ministry of Emergency Situations, told Ekho Moskvy radio that she believed the meteorite broke apart and fell in several places. Another government expert, who spoke to Moscow FM radio station, said he believed it may have been a bolide, a type of fireball meteor that explodes in the earth’s atmosphere because of its composition or angle of entry and can be observed from the ground.
However, the governor of the Chelyabinsk district reported that a search team had found an impact crater on the outskirts of a city about 50 miles west of Chelyabinsk, which would indicate the meteor did not explode in the atmosphere. An official from the Interior Ministry told Interfax that three large pieces of meteorite debris had been retrieved in the area and that 10,000 police officers are searching for more.
February 05, 2013
Joe Biden : «Les États-Unis appuient la France au Mali»
Par Philippe Gelie
INTERVIEW EXCLUSIVE - Le vice-président américain, qui est reçu ce lundi par François Hollande, détaille les priorités des réformes d'Obama pour son second mandat et met en garde l'Iran.
Joseph R. Biden, 70 ans, effectue une tournée en Europe qui l'a conduit ce week-end en Allemagne et qu'il achèvera au Royaume-Uni après une étape à Paris. Il a accordé une interview exclusive au Figaro.
LE FIGARO. - Quels sont les objectifs de votre tournée en Europe et de votre visite en France?
Joe BIDEN. - Les partenaires de l'Amérique de ce côté-ci de l'Atlantique restent nos plus vieux amis et nos plus proches alliés. En tant que vice-président, j'ai plus voyagé en Europe que dans aucune autre région du monde. Cela démontre la force du partenariat transatlantique et son importance pour les États-Unis. Ni l'Europe ni les États-Unis ne peuvent affronter les défis de notre temps l'un sans l'autre. Avec l'Europe, l'Amérique partage des valeurs communes, des intérêts, des capacités et des objectifs communs ; nous répondons plus efficacement aux mêmes défis globaux si nous agissons ensemble.
Il y a plus de deux siècles, les Français se sont tenus à nos côtés lorsque notre jeune nation aspirait à l'indépendance. L'histoire de nos deux Républiques est inextricablement liée. La France est notre plus vieil allié et je m'y rends aujourd'hui parce que nos destins et nos intérêts restent profondément entremêlés. De l'Afghanistan à la Libye, de l'Iran au Mali, de l'économie mondialisée au changement climatique, les États-Unis abordent les défis de notre époque ensemble avec la France.
LE FIGARO. - Quels sont les objectifs de votre tournée en Europe et de votre visite en France?
Joe BIDEN. - Les partenaires de l'Amérique de ce côté-ci de l'Atlantique restent nos plus vieux amis et nos plus proches alliés. En tant que vice-président, j'ai plus voyagé en Europe que dans aucune autre région du monde. Cela démontre la force du partenariat transatlantique et son importance pour les États-Unis. Ni l'Europe ni les États-Unis ne peuvent affronter les défis de notre temps l'un sans l'autre. Avec l'Europe, l'Amérique partage des valeurs communes, des intérêts, des capacités et des objectifs communs ; nous répondons plus efficacement aux mêmes défis globaux si nous agissons ensemble.
Il y a plus de deux siècles, les Français se sont tenus à nos côtés lorsque notre jeune nation aspirait à l'indépendance. L'histoire de nos deux Républiques est inextricablement liée. La France est notre plus vieil allié et je m'y rends aujourd'hui parce que nos destins et nos intérêts restent profondément entremêlés. De l'Afghanistan à la Libye, de l'Iran au Mali, de l'économie mondialisée au changement climatique, les États-Unis abordent les défis de notre époque ensemble avec la France.
Euro, shares recover as European worries recede
By Richard Hubbard
(Reuters) - European shares and the
euro steadied on Tuesday, a day after a sharp selloff caused by rising
political risks in southern Europe, as new data confirmed the region's economy
is showing clear signs of recovery.
The euro, which had taken the brunt of
the selling and fallen from a high of over $1.37 at the end of last week to
below $1.35 on Monday, recovered to be up 0.1 percent at $1.3530.
European shares which have tracked a similar path from
closing near two-year highs on Friday to shedding most of the year's gains in
Monday's sell-off, also staged a modest advance.
Most analysts see this week's gyrations as a necessary
correction to a rally linked to signs of increasing euro
zone economic
stability and an improving global outlook, underpinned by the easier monetary
policies of major central banks.
"What we are looking at, at the moment, is a
correction, a consolidation or even a 'baby risk-off'," said Philippe
Gijsels, head of research at BNP Paribas Fortis Global Markets in Brussels,
referring to investors selling higher risk assets.
"Nevertheless our working hypothesis remains
that, after the correction, the trends in place before will continue, as the
two main drivers are still there - namely central banks continuing to inject
liquidity and more and more proof of an economic recovery," he added.
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